Les armes lasers arrivent…

Laser Armée USL’armée américaine étudie depuis de nombreuses années la possibilité d’utiliser le laser en tant qu’arme. Ses travaux commencent à porter leurs fruits. En effet, d’ici environ 4 ans elle sera parvenue à créer un laser de 100 kW, ce qui est la puissance nécessaire pour parvenir à détruire un missile en vol.
Ainsi, cette nouvelle arme servirait avant tout de défense contre d’éventuels attaques de missiles, de rockets, de tirs d’artillerie… Des avions équipés de la sorte pourraient également se défendre de tirs ennemis aériens.
La seule inconnue pour le moment reste l’efficacité de ce type d’armes en cas de mauvais temps. En effet, la vapeur et les particules en suspension dans l’air peuvent réduire considérablement la portée des rayons.

Bientôt les batailles de Star Wars n’appartiendront plus à la science fiction….

Cependant, en attendant ce moment, elle continue ses essais de “bouclier aérien”. Autrement dit, il s’agit de missiles longues portées destinés à intercepter en vol un missile ennemi.
Le prochain essai devrait être programmé au printemps 2006. Un missile sera tiré de Californie alors que la cible décollera d’Alaska dans le même temps.

Source : Futura-Sciences.com, Techno-sciences.net

2005, plus longue d’une seconde

Exceptionnellement, l’année 2005 comptera une seconde de plus qu’à l’accoutumée.

Du fait de l’aspect particulièrement technique de cette information, je me suis permis de reprendre une partie de l’article de Futura Sciences afin de ne pas faire d’erreur. Ce dernier peut être consulté dans son intégralité à l’adresse indiquée plus bas.

Extrait :

Le 1er janvier 2006, à 1 heure du matin, il faudra retarder les montres d’une petite seconde. Très exceptionnellement, la minute entre minuit 59 minutes et 1 heure durera une seconde de plus que la normale, soit 61 secondes au lieu de 60. Toute horloge qui comptera l’habituelle 60 secondes pour cette minute affichera donc « 1 heure » avec une seconde d’avance, et devra être corrigée, du moins pour ceux qui ont besoin de l’heure légale à la seconde près.

Dans l’échelle de temps internationale « UTC » (Temps Universel Coordonné), cette seconde supplémentaire, ou « intercalaire » comme on la désigne, interviendra le 31 décembre 2005 juste avant minuit. Les scientifiques ont donc tendance à considérer qu’elle appartient à 2005. Mais en France, à cause du décalage horaire par rapport à UTC en période d’heure d’hiver (+1 h), elle arrivera bel et bien à 1 heure le 1er janvier… 2006.

La rotation de la Terre sur elle-même qui détermine le passage des jours et des nuits, ralentit sur le long terme, à cause principalement des effets d’attraction luni-solaire. De plus, notre planète est perturbée par ses constituants internes (noyau, manteau) et externes (atmosphère, océans).

Or, le temps est aujourd’hui mesuré par des moyens insensibles aux humeurs de la Terre, grâce à 250 horloges atomiques appartenant à plusieurs pays du globe, dont 25 en France. Ensemble, elles permettent de calculer le Temps Universel Coordonné – UTC.

Et l’UTC est si régulier qu’il apparaît rapidement un décalage entre lui et le temps des jours et des nuits déterminé par la rotation de la Terre sur elle-même.

Ce décalage pouvant être gênant pour certaines applications, un accord international signé en 1972 stipule que la différence entre les deux ne doit jamais dépasser une seconde. C’est à cela que servent les secondes intercalaires : quand le décalage entre UTC et le temps lié à la rotation de la Terre s’approche d’une seconde, l’insertion d’une seconde intercalaire dans UTC permet de recaler ces deux échelles entre elles.

Source : Futura Sciences